Un nouvel humanisme est-il la clé du futur?

– L’urgence des transitions environnementales,

– La réussite des stratégies de transformation de l’entreprise, 

– La prise en charge au bon niveau des crises sociétales,

– Les réponses à la montée des radicalisations et des sources d’asservissement,

– Les enjeux liés à la régénération, au sens et à l’être,

– La maîtrise des nouvelles symbioses de l’humain dans ses relations à la nature et aux IA,

Interpellent puissamment la richesse, la complexité et les paradoxes du facteur humain, à la fois dans sa réalité d’aujourd’hui comme dans ses capacités évolutives. 

Ils justifient d’investir dans des démarches à la fois réflexives et projectives centrées sur celui-ci, démarches qui ne peuvent rester confinées au seul modèle de consommation ou de performance économique.

Se pose la question civilisationnelle d’un nouvel humanisme, englobant les sphères technologiques, économiques, sociales et culturelles.

À l’heure de l’apparition de nouvelles alliances entre technologies numériques et idéologies de domination, l’Agora du Futur du 13 février se propose de débattre des conditions de ce nouvel humanisme,  porté par un mouvement collectif de conscience et de connaissance partagées, d’innovation systémique, d’éthique appliquée et de régénération des modèles de leadership…

Cette Agora du Futur sera animée par Stéphane Demarquette, ex DRH Recherche & Innovation du groupe L’Oréal, chercheur au sein de La Fabrique du Futur sur les enjeux propres à l’évolution adaptative du Facteur Humain et concepteur de l’Atelier Mosaïque et de formations sur ce thème.